Nouvelle: Ailleurs...n'importe où + quelques poèmes...

Leila soupira. Elle en avait assez. Assez de vivre dans ce village menacé d'être envahi par les « ennemis » comme elle les appelait. Combien de temps cela allait-il encore durer ?
Il y a trois ans, une guerre terrible avait éclaté. Des petits villages semblables à celui de la jeune fille avaient été entièrement détruits par les terribles armées du Président.
Les survivants avaient été forcés de fuir pour ne pas mourir de faim et de froid. Seules quelques régions furent épargnées. Le village de Leila en faisait partie. Mais c'était sans compter les rebelles. Ces groupes de soldats sanguinaires et sans pitié rôdaient autour des villages restants, menaçant sans cesse les habitants. Mais en quatre mois, les rebelles n'avaient rien tenté. Ils se contentaient de rester à proximité des habitations. On aurait dit qu'ils attendaient le moment crucial pour envahir les villages. Leila espérait de toutes ses forces que ce moment n'arriverait jamais...


Une pluie torrentielle s'abattit sur Tesia. Leila courut se mettre à l'abri, en dessous du pont qui reliait sa maison et son école. C'était la première fois depuis des années qu'une telle averse tombait sur le village.
Bientôt, d'autres personnes rejoignirent la jeune fille. Elles étaient terrifiées. La peur se lisait dans leurs yeux. Leila ne comprenait pas. Bien sûr, la pluie était rare dans ce village. Surtout comme celle-là. La dernière averse de ce genre datait de 1576, 100 ans auparavant. Mais il n'y avait pas de quoi en faire tout un plat. Pourtant, les quelques personnes qui l'entouraient paraissaient vraiment horrifiées. Leila s'adressa à un homme trempé jusqu'aux os qui s'était placé juste devant elle.
- Excusez-moi monsieur, dit-elle timidement, mais je ne pense pas que cette pluie soit si terrifiante. Que craignez-vous donc autant ?
L'homme se retourna stupéfait. Il n'était pas le seul d'ailleurs. Tout le monde la fixait comme si elle débarquait d'une autre planète.
- Comment ? Tu n'as jamais entendu parler des Morèves ?
- Si monsieur... mais ce ne sont que des légendes...je n'y crois pas.
- Ce n'est pas étonnant, répliqua une femme au regard méprisant. C'est la fille de Samuel. L'homme qui habite à l'autre bout du village.
Des murmures approbateurs suivirent cette déclaration.
- Les Morèves sont redoutables dit une vieille femme. Si par malheur tu croises leur regard, tu peux compter jusqu'à trois et...
L'homme l'interrompit.
- Écoute-moi bien petite. Je sais que ton père ne croit pas aux Morèves mais ils sont réels.
Cette averse est annonciatrice de malheur. J'ai entendu dire qu'une pluie de ce genre s'est abattue sur un village semblable au notre, il y a des années de cela. Ce qui est arrivé aux habitants ensuite sortait de l'imaginable. Je n'ose en parler...
A en croire les expressions des visages, chacun savait de quoi parlait l'homme. Abasourdie, Leila crut à une blague. Elle failli éclater de rire mais se retint en voyant que les expressions ne changeaient pas. Un éclair déchira le ciel et tout le monde hurla. Un homme se tenait devant eux.
- Un Morève ! Nous sommes perdus !
Leila n'en croyait pas ses yeux. Non, c'était impossible. Ces Morèves n'étaient que des personnages de légendes. Et pourtant... une longue cape rouge, un visage blafard et dénué d'expression, des yeux d'un noir profond,... Il y ressemblait tellement...
Soudain, l'homme regarda Leila dans les yeux. A cet instant, elle eut une pensée des plus absurdes.
« Je voudrais être ailleurs...n'importe où... »
Leila avait fermé les yeux. Mais il ne se passa rien. Rien du tout. Lorsqu'elle eu le courage de les ouvrir à nouveau, l'étrange individu n'était plus là. Stupéfaits, les villageois ne dirent pas un mot.
Leila se blottit contre le mur en frissonnant. Elle avait cru que c'était un Morève. Son imagination lui avait joué des tours voilà tout.
Au bout de quelques minutes interminables, la pluie cessa. Tous s'en allèrent rapidement.
Leila essaya de retrouver ses esprits tout en marchant. Elle ne savait plus que penser...

Soudain, Leila s'arrêta. Son regard fut attiré par un étrange éclat bleu qui tombait lentement du ciel.
Leila s'en approcha et s'aperçut avec étonnement que c'était une plume. Une plume comme elle n'en avait jamais vue. Longue d'une cinquantaine de centimètres, elle était très fine et brillait d'un éclat bleu turquoise. Elle semblait animée d'une étrange énergie. A la fois puissante et fragile.
- Elle est magnifique, s'exclama-t-elle tout haut. Elle pris la plume du bout des doigts et la souleva à hauteur de ses yeux.
A cet instant, un éclair déchira le ciel et Leila tomba à genoux. Elle se tenait la tête en hurlant. Des images saccadées lui parvenaient par flash.

Un hôpital. Une mère portait un bébé dans ses bras. Un sourire illuminait le visage de la jeune femme.
L'hôpital disparut laissant place à un salon. Une petite fille de quatre ans pleurait devant la cheminée. Une poupée se trouvait à côté d'elle. Elle n'avait plus de tête.
Le salon s'effaça et l'hôpital réapparut. Un homme se tenait devant un lit. Une larme coulait le long de sa joue. Il avait les yeux fixés sur une jeune femme qui paraissait dormir paisiblement.
Un bruit le fit se retourner. Une fillette de 12 ans venait d'ouvrir la porte à la volée. Elle regarda l'homme, la femme allongée dans le lit et cria.

Leila était couchée sur le trottoir à présent. Elle sanglotait, la plume serrée dans son poing. Avant qu'elle ait pu réaliser complètement ce qui lui était arrivé, elle sentit une main se poser sur son épaule. Elle sursauta et se releva immédiatement, prête à s'enfuir.
- Tout va bien mademoiselle ?
Un vieillard s'était approché de la jeune fille. Il semblait inquiet. Leila le fixa de ses yeux humides et hocha la tête. Elle remarqua qu'il contemplait la plume bleue.
- Oui, je... j'ai trébuché... Je me suis blessée au genou mais ça ira. Merci.
Tandis que Leila empruntait le pont en courant, le vieillard resta là à l'observer, un sourire aux lèvres et une étrange lueur dans le regard.

[Suite]

- Où étais-tu passée? Je me suis fait un sang d'encre ! Leila... est-ce que tout va bien ?
Leila tremblait. De peur et de froid. Elle ouvrit lentement son poing et la plume tomba sur le plancher du salon.
Les yeux de Samuel passaient de sa fille à la plume. Il se baissa pour la ramasser mais Leila cria.
Surpris, Samuel se redressa.
- Ne la touche surtout pas !
Leila hésita. De toute évidence, son père n'avait pas l'intention de la gronder. Il paraissait surtout inquiet. Elle décida de tout lui raconter. Lorsque le récit de sa fille fut terminé, Samuel alla s'asseoir dans le fauteuil face à la cheminée. Pendant quelques instants, rien ne vint troubler le silence qui régnait dans la pièce.
- Cet individu que tu croyais être un Morève n'en était pas un, finit-il par lâcher. Ce ne sont que des personnages de légendes, ils ne sont pas réels.
Il avait élevé la voix en prononçant ces derniers mots.
- Est-ce que tu m'as bien compris ? Les habitants de ce village n'en peuvent plus. Ce qui leur est arrivé les a bouleversé. Ils se plaisent à rejeter la faute sur quelque chose qui n'existe pas. C'est tellement plus facile...
Leila s'approcha de son père qui continuait à marmonner pour lui-même.
- Que s'est-il passé papa ? Que leur est-il arrivé ?
Samuel releva la tête et cligna des yeux comme s'il venait d'émerger d'un songe lointain.
- Je te raconterais tout ça lorsque tu seras plus grande. Oublie ces prétendus Morèves.

Le reste de la soirée se passa silencieusement. Leila n'osa plus poser de questions à son père et ce dernier semblait de plus en plus préoccupé. La jeune fille fut soulagée lorsque l'heure du coucher arriva. Elle embrassa son père sur la joue et alla dans sa chambre.
Quelques minutes plus tard, elle entendit le son de la télévision. Elle ferma les yeux mais ne trouva pas le sommeil avant longtemps.

Le village était en feu. Les habitants couraient dans tous les sens en hurlant. Un bébé était assis par terre et pleurait. Leila était sous le pont et observait se sinistre spectacle.
Dans le fleuve, se trouvait une poupée dont la tête avait été arrachée. Elle tendait les bras comme pour appeler à l'aide. Tétanisée, Leila ne pouvait plus bouger alors que le feu menaçait de la tuer.

Une terrible explosion retentit et Leila se réveilla en sursaut.
La plume bleue turquoise serrée dans sa main. L'individu à la cape rouge se tenait devant son lit. Il s'approcha de la jeune fille, un sourire malveillant aux lèvres. Leila ne pouvait pas bouger.
Soudain, un éclair blanc jaillit de nulle part et la jeune fille s'évanouit.

Allongée sur le dos dans une herbe fraîche, Leila aperçut une femme qui la regardait. Elle semblait émerveillée.
- Ça a marché ! Elle a fonctionné !
Leila se releva.
- Qui êtes-vous ? Que s'est-il passé ?
La jeune fille promena son regard autour d'elle. Le paysage était magnifique ! Elle se trouvait près d'un lac dont l'eau semblait briller de mille feux. Des arbres immenses l'entouraient. Un sentier orné de fleurs menait à une petite clairière où se tenait une splendide maison en bois.
Une lumière argentée émanait de nulle part, ce qui donnait à l'endroit un aspect féerique. Leila s'attendait presque à voir des lutins sortir des arbres.
- Je m'appelle Luna. Tu es entrée au Royaume des Rêves. Grâce à la plume.
Leila resta bouche bée. C'était une plaisanterie !
- Pas du tout ma chérie.
La jeune fille sursauta.
- Vous avez lu dans mes pensées ?
Luna rit.
- Allez viens, suis-moi.
Abasourdie, Leila ne pouvait s'empêcher de la suivre. Tandis qu'elle traversait ce paysage fabuleux, elle ressentit un sentiment qu'elle n'avait plus retrouvé depuis longtemps: le bonheur. Elle se sentait en sécurité, comme si un rêve était en train de se réaliser. Elle ne pensait à rien et savourait chaque minute. Qui sait combien de temps allait-elle rester ici...

La maison était splendide ! Non pas luxueuse, au contraire. Les décorations étaient simples et naturelles. De nombreuses plantes ornaient les pièces et leur donnaient une atmosphère sereine.
Ni trop grande, ni petite, cette maison respirait la joie de vivre.
Luna prit Leila par la main et l'entraîna dans une pièce qui semblait être un salon.
Deux fauteuils se trouvaient face à une jolie petite table en bois. Une peinture représentant un paysage féerique était accrochée au mur.
Luna s'installa dans le premier fauteuil et indiqua le second du doigt à la jeune fille
- Qui êtes vous ? répéta Leila en s'asseyant. Quel est cet endroit ?
- Dis-moi, te rappelles-tu d'où tu viens ?
Leila réfléchit. Rien, plus aucun souvenir.
- Non ! Je ne me souviens de rien, s'écria-t-elle paniquée. Que m'avez-vous fait ?
Le sentiment de bonheur qu'elle avait ressentit quelques minutes auparavant avait complètement disparu. Tout ce que Leila voulait à présent, c'était de partir d'ici le plus vite possible.
- Tu n'iras nulle part ma chérie. Tu ne peux pas sortir de ce royaume.
Luna n'avait pas changé d'expression en disant cela. Elle se leva, pris son sac et en sortit une étrange sphère. Elle aussi brillait d'une couleur turquoise.
- Regarde, et dis-moi ce que tu vois.
Leila pris la sphère que Luna lui tendait et regarda à l'intérieur. Pendant un instant, rien ne se passa. La jeune fille s'apprêtait à la reposer sur la table lorsque le bleu turquoise disparut et une image floue d'une ville brûlée se dessina.
Soudain, Leila se souvint. C'était son village ! Elle venait de reconnaître le pont et la rivière.
Elle ne pouvait détacher son regard de spectacle terrifiant. Des guerriers saccageaient tout sur leur passage. Des femmes et des enfants hurlaient et couraient dans tous les sens. Un petit garçon qui ne semblait avoir pas plus de 5 ans tentait de semer un terrible guerrier. Alors qu'il parvenait au bord de la rivière, un autre guerrier surgit de nulle part et le tua en le transperçant de son épée.
Leila laissa tomber la sphère, qui au lieu de se briser en mille morceaux, rebondit et se plaça sur la table en bois.
La jeune fille se leva et courut jusqu'à la porte d'entrée.
- La porte est fermée ma chérie, tu ne peux pas sortir. Viens t'asseoir.
Ce fut comme si une force invisible forçait Leila à retourner dans le salon. Elle ne pouvait pas contrôler pas ses gestes.
Une fois assise, Luna la regarda dans les yeux.
- C'est bien toi qui a demandé à t'échapper de ce village. Tu nous as appelé.
- Mais de quoi parlez-vous ? Je ne vous ai jamais appelé !
Luna la fit taire d'un regard.
- Ne dis pas n'importe quoi Leila, dit-elle. J'ai senti ton appel lorsque tu étais sous le pont.

La jeune fille fouillait des ses souvenirs mais rien à faire, elle ne se rappelait pas avoir appelé qui que ce soit.
Soudain, des paroles résonnaient dans son esprit: « Je voudrais être ailleurs...n'importe où...»

Impossible, ça ne ressemblait en rien à un appel au secours.

La porte s'ouvrit violemment et un homme entra dans la maison. Alors qu'il s'avançait dans le salon, elle le reconnut. C'était le vieillard qui l'avait aidé à se relever lorsqu'elle était tombée par terre.
La maison se retrouva soudainement dans le noir le plus complet. Le vieillard murmura, dans un état de transe:

Parfois, un rêve se transforme en rêve. Tu souhaites quitter ce monde plein de haine et de souffrance. La peur de mourir, de perdre ton père se font sentir davantage, jour après jour. Tu as le choix à présent. Rester ici et découvrir de nouveaux horizons ou retourner dans ton village et affronter la réalité. Toi seule peut décider de ton avenir...

Il se tut et la lumière réapparut. Avant que Leila puisse dire un mot, il sortit une étrange poupée de sa cape.
- Je pense qu'elle t'appartient.
Leila n'en croyait pas ses yeux. Sa poupée ! Sa mère la lui avait offerte pour son quatrième anniversaire. Quand la maladie avait emporté Suzan, Leila l'avait jeté dans la rivière après lui avoir arraché la tête.
- Comment l'avez-vous retrouvé ? Et pourquoi l'avoir réparée ?
- Ce royaume n'est pas seulement appelé le Royaume des Rêves. C'est un endroit qui se situe entre la Terre... et le Paradis.
- Le Paradis ? Mais cela signifie que je suis...
- Non. Je t'ai envoyé cette plume turquoise afin de t'amener ici. C'est la première fois que nous tentions cette expérience. Tu n'es pas morte car nous avons empêché ce Morève, comme vous le nommez, de te tuer. Tu es dans le Royaume intermédiaire si tu veux. Peu de gens se retrouvent ici et ils ne restent pas longtemps. Ce sont souvent des personnes qui ont sombré dans la folie, qui sont toujours entre la vie et la mort. Certains se battent et retournent sur Terre. D'autres n'en ont plus la force et vont au Paradis.
- Mais... ces Morèves... ils existent vraiment ! Ce ne sont pas des personnages de légende ?
Le Roi soupira. Luna gardait le silence.
- Les Morèves ne sont autre que les rebelles. Ces rebelles qui menacent de détruire tous les villages résistant à l'autorité de votre Président.
- Si nous nous trouvons dans un Royaume intermédiaire. Comment se fait-il que Luna parvient à rester ?
- Luna ? Luna représente ta conscience. Elle a pris l'apparence d'une femme car elle te rappelle quelqu'un qui te manque terriblement.
- Ma mère...
Leila ne savais pas ce qu'elle devait faire. Rester ici, découvrir de nouveaux horizons, devenir libre à jamais... Elle serait heureuse, n'aurait plus aucune crainte. Qui refuserait de vivre cela ?
Elle se voyait parcourir des paysages merveilleux, vivant des aventures incroyables, rencontrer des fées, des lutins. N'importe quelle petite fille, blasée par toute cette haine, en rêverait.
Mais le visage de son père flottait devant ses yeux. Leila était perdue.
Elle regarda le vieillard dans les yeux et murmura doucement:

« Je voudrais être ailleurs... n'importe où...»

Tes textes sont très beaux! Pourquoi douter de tes compétences de narratrice ?
Est-ce que tu en as fait d'autres des histoires comme celles-là ?

Merci
J'suis contente que tu aimes !

En fait, je trouve qu'en général mes histoires manquent de détails. J'ai toujours eu du mal avec les descriptions, il faudrait que je travaille ça.
En ce moment, je suis occupée avec un roman que je commence un peu par le milieu. Une fois que j'aurais écrit le début je le posterai.
Ou au pre je peux toujours mettre des extraits dans le désordre pour savoir ce que vous en pensez ^^

Là c'est un petit poème (ce n'est pas vraiment le mot parce qu'il n'y a aucune rime mais bon) que j'ai écrit il y a pas mal de temps. Rien avoir avec la grande littérature évidemment, c'est juste ce que je ressentais sur le moment ^_^.


Pensées amères, désillusions
Rêves envolés et déceptions

Magie perdue, bulle éclatée
Vague d'amertume, espoirs brisés

Etoile voilée, vie fragile
Tristes mélodies, souvenirs futiles


Tourner la page et oublier
Se détacher du passé
Retrouver la lueur
Et ne plus s'en détourner

Je m'étais jurée de ne plus replonger
Tant pis pour moi ça m'apprendra ...

J'aime beaucoup aussi ton 'poème' mais c'est dommage pour le 'Tant pis pour moi ça m'apprendra' , ça fait moins joli. Même si je te l'accorde écrire est difficile *en ce qui me concerne surtout les poèmes : (*

Moi je les aient trouvés plutôt jolies tes descriptions, plutôt courtes, mais jolies , mais de toute façon c'est comme tout , plus pratiqueras l'écriture plus tu seras douée, et donc tes descriptions plus étoffées.

Mais si tu veux des conseils, moi quand je fais des descriptions je pense à ça (J'éspère que cela ne t'embêtes pas, j'ai décidé de mettre ces conseils vu que ma prof de français me dit très souvent que les descriptions sont mon point fort, donc je me suis dit que cela pouvait t'aider)

-Pour ce qui est des descriptions de lieux , je pense bien à tous les objets que peut contenir une pièce mais je sais qu'un endroit est important et que si l'on veut une bonne ambiance il ne faut pas négliger les objets.
- Pour les descriptions de personnes, ma prof de français, nous dit toujours de faire un schéma avec les différentes parties du corps, du visage, et des vêtements.. Personnellement j'essaye de visualiser le personnage dans ma tête.

J'éspère que cela ne te froisse pas que je t'ait mis ces conseils .

Tout conseil est bienvenu ! Merci !

Et merci de prêter attention à mes écrits ^_^.

J'ai eût peur que ça t'embêtes ... ouf .

De rien, ça me fait plaisir de lire tes textes ^^ .

Il y en a au moins une qui y prête attention ^_^'

J'ai lut juste le poème, pour l'histoire, je la lirais un peu plus tard.

J'aime bien le poème, on voit bien ou tu veux en venir et je ne suis pas d'accords avec Rhapso 58, le "Tant pis pour moi ça m'apprendra" me plaît bien, ça fait une chute, peut-être moins jolie, mais on comprends ou tu veux en venir ^^

Merci

Oui, j'ai vraiment mis ce que je ressentais sur le moment sans vraiment faire attention à la structure du texte tout ça...
Ce qui fait que ça peut paraitre bizarre

Je viens de lire ton histoire
Je l'ai lu très lentement (et pourtant je n'ai pas tout compris). Mais j'ai aimé quand même.

Merci beaucoup !
Wahou même en ne comprenant pas tout tu aimes bien