Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
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Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
Et voila... je poste ma petite collection!
( MOI!! )
Et voila!! d'autre son a venir... ( les textes... non-corrigé )
( MOI!! )
Et voila!! d'autre son a venir... ( les textes... non-corrigé )
Re: Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
Mort étrange
12 février 2008.
Une fraîche nuit s’abattît sur Moscou, la capitale de la Russie, le Transsibérien se prépare à partir. A la gare, tout la monde se précipite pour prendre le train qui parcourra plus de 9200 km à l’intérieur du territoire Russe.
15 min avant le départ du fameux train, un homme, de taille moyenne, cheveux noirs coupé aux épaules et portant une barbe bien touffue, une mallette a la main, entre dans la gare et se dirige vers les caisses.
- Bonjours, que puis-je faire pour bous aider? Dit la caissière qui se tenait bien droite, trop droite…
- Un billet pour le Transsibérien, répondit-il en la dardant d’un regard qui cachait bien des soupçons. Et garder le tout, merci.
Son billet en main, il se dirigea vers le train.
9 min avant le départ du train, l’homme entra dans le Transsibérien et se mit à la recherche d’une cabine vide. Dès qu’il la trouva, il y déposa sa mallette proche d’une petite table et son magnétophone sur cette même table.
L’homme eu tout juste le temps de refermer la porte, dont une vitre givrée laissait voir la lumière des lampes allumé dans le couloir, que le train se mit en marche.
13 février 2008.
L’homme se réveilla en sursaut, haletant et couvert de sueur. S’est cheveux coller sur sont front lui donnais l’aire malade. Il passa une main las sur sont visage pour enlever la sueur qui perlais et secoua la tête comme un chien. Soudain, il entendit un bruit.
- Qui est la!?! s’écriait-il.
Seul un silence envahissant lui répondit. Puis le murmure le plus inaudible se fit entendre, déchirant le silence de lequel était coucher l’homme.
- Tu as fais une grave erreur! lui répondit une voix féminine qu’il ne reconnut pas. Tu aurais dut te tirer une balle dans la tête quand tu en avais la chance! Reprit-elle sur un ton de mépris total qui n’échappas aucunement à l’homme.
- NON! Répliqua-t-il avec force (bien plus qu’il le voulais, se qui l’étonnas, puisqu’il a toujours su faire preuve d’un sang froid étonnant).
Pris de panique, il ouvrit sa mallette et en sortie un petit flacon. Ce flacon contenais des pilules a sommeil, un somnifère très puissant. L’homme en avala deux et s’effondra dans un sommeil très profond et ou aucun rêve ne peux y accédé.
14 février 2008,
À son réveil, une femme se tenait devant la porte de la cabine, le pointant du doigt et riant d’un rire si sadique que l’homme un frisson de peur.
- PARTER!! Cria-t-il aussi soudainement que l’apparition de la femme.
La femme n’en fit rien. Elle continua de rire de son ton sadique. Sous une forte impulsion, il se saisi d’une clé et la lança sur la vitre plus givré qu’a son arriver, lui semblait-il. La vitre se fendit et éclata. La femme avait disparue.
De plus en plus la démence la prenait. Plus il repensais a se qu’il venait de voir plus il tombait dans l’incompréhension de sa propre vie, ses souvenirs et tout se qui le concernais, donc, toute ça vie devenais incompréhensible. A la suite de ce qui venait de se passer, l’homme s’assit une chaise adosser au mur et prit son magnétophone dans l’espoir de pouvoir entendre le sons de sa voix calme et sereine, ce qu’il faisais toujours lorsqu’il se sentais défaillir. Malheureusement, tous se qu’il put entendre furent un coup de feu et le son d’un corps qui tombe, SON CORPS!!!
A bout de nerf, il se leva, comme dirigée pas un marionnettiste ou un esprit malsain, qui ne voulais que du mal a cette homme si fragile d’esprit. Il sortit une corde bien solide de sa mallette pour la fixer au plafond qui avait l’aire très solide. Ensuite l’homme prit son précieux magnétophone, celui-la même qui lui avais fais perdre l’esprit, quelque minutes auparavant. Il le déposa sur la table et appuya sur « Enregistrer ».Puis, il monta sur la chaise, toujours adosser au mur et se passa la corde au coup. Il s’apprêtait a sauter dans le vide lorsqu’une balle vint se loger dans sont crâne malade d’esprit. Son corps bascula dans le vide, reproduisant les sons entendus un peu plus tôt…
Un texte d’Olivier St-Georges, aidé par Vincent Gascon( inspiration... ouais, ce mec, c'est un fou! ) et Marianne Lemay( correctrice syntaxique ).
Merci.
12 février 2008.
Une fraîche nuit s’abattît sur Moscou, la capitale de la Russie, le Transsibérien se prépare à partir. A la gare, tout la monde se précipite pour prendre le train qui parcourra plus de 9200 km à l’intérieur du territoire Russe.
15 min avant le départ du fameux train, un homme, de taille moyenne, cheveux noirs coupé aux épaules et portant une barbe bien touffue, une mallette a la main, entre dans la gare et se dirige vers les caisses.
- Bonjours, que puis-je faire pour bous aider? Dit la caissière qui se tenait bien droite, trop droite…
- Un billet pour le Transsibérien, répondit-il en la dardant d’un regard qui cachait bien des soupçons. Et garder le tout, merci.
Son billet en main, il se dirigea vers le train.
9 min avant le départ du train, l’homme entra dans le Transsibérien et se mit à la recherche d’une cabine vide. Dès qu’il la trouva, il y déposa sa mallette proche d’une petite table et son magnétophone sur cette même table.
L’homme eu tout juste le temps de refermer la porte, dont une vitre givrée laissait voir la lumière des lampes allumé dans le couloir, que le train se mit en marche.
13 février 2008.
L’homme se réveilla en sursaut, haletant et couvert de sueur. S’est cheveux coller sur sont front lui donnais l’aire malade. Il passa une main las sur sont visage pour enlever la sueur qui perlais et secoua la tête comme un chien. Soudain, il entendit un bruit.
- Qui est la!?! s’écriait-il.
Seul un silence envahissant lui répondit. Puis le murmure le plus inaudible se fit entendre, déchirant le silence de lequel était coucher l’homme.
- Tu as fais une grave erreur! lui répondit une voix féminine qu’il ne reconnut pas. Tu aurais dut te tirer une balle dans la tête quand tu en avais la chance! Reprit-elle sur un ton de mépris total qui n’échappas aucunement à l’homme.
- NON! Répliqua-t-il avec force (bien plus qu’il le voulais, se qui l’étonnas, puisqu’il a toujours su faire preuve d’un sang froid étonnant).
Pris de panique, il ouvrit sa mallette et en sortie un petit flacon. Ce flacon contenais des pilules a sommeil, un somnifère très puissant. L’homme en avala deux et s’effondra dans un sommeil très profond et ou aucun rêve ne peux y accédé.
14 février 2008,
À son réveil, une femme se tenait devant la porte de la cabine, le pointant du doigt et riant d’un rire si sadique que l’homme un frisson de peur.
- PARTER!! Cria-t-il aussi soudainement que l’apparition de la femme.
La femme n’en fit rien. Elle continua de rire de son ton sadique. Sous une forte impulsion, il se saisi d’une clé et la lança sur la vitre plus givré qu’a son arriver, lui semblait-il. La vitre se fendit et éclata. La femme avait disparue.
De plus en plus la démence la prenait. Plus il repensais a se qu’il venait de voir plus il tombait dans l’incompréhension de sa propre vie, ses souvenirs et tout se qui le concernais, donc, toute ça vie devenais incompréhensible. A la suite de ce qui venait de se passer, l’homme s’assit une chaise adosser au mur et prit son magnétophone dans l’espoir de pouvoir entendre le sons de sa voix calme et sereine, ce qu’il faisais toujours lorsqu’il se sentais défaillir. Malheureusement, tous se qu’il put entendre furent un coup de feu et le son d’un corps qui tombe, SON CORPS!!!
A bout de nerf, il se leva, comme dirigée pas un marionnettiste ou un esprit malsain, qui ne voulais que du mal a cette homme si fragile d’esprit. Il sortit une corde bien solide de sa mallette pour la fixer au plafond qui avait l’aire très solide. Ensuite l’homme prit son précieux magnétophone, celui-la même qui lui avais fais perdre l’esprit, quelque minutes auparavant. Il le déposa sur la table et appuya sur « Enregistrer ».Puis, il monta sur la chaise, toujours adosser au mur et se passa la corde au coup. Il s’apprêtait a sauter dans le vide lorsqu’une balle vint se loger dans sont crâne malade d’esprit. Son corps bascula dans le vide, reproduisant les sons entendus un peu plus tôt…
Un texte d’Olivier St-Georges, aidé par Vincent Gascon( inspiration... ouais, ce mec, c'est un fou! ) et Marianne Lemay( correctrice syntaxique ).
Merci.
Re: Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
Caverne ( travail de français pour l'école )
En 1962, un jeune homme décida de partir en expédition à la suite de l'internement de son père dans un hôpital psychiatrique. Il avait été interné à la suite du suicide de sa femme, la mère de Tom. Tom et ses compagnons, commencèrent leur expédition dans des montagnes Indienne jamais explorées jusqu'à ce jour.
Cela faisait plusieurs jours qu’ils étaient partis et ils n'avaient rencontré que de la végétation. Soudain, vers la fin du huitième jour, ils décidèrent de faire une pause pour la nuit dans une grotte non loin de la. Tom fût le premier a entré et dès que le second mit le pied a l'intérieur, un énorme rocher tombât en lui broyant la jambe et le pied. Tom, troublé, recula et trébucha sur quelque chose...C'était des ossements!
Son cœur battait a tout rompre .Il se releva et Hurla. Une fois plus calme, il remit ses idées en place. Tom décida de chercher une sortie. Au bout de deux heures de marche, il commença à avoir faim. Il n'avait aucune nourriture sur lui, tout ce qu'il avait se limitait a un couteau. L'idée la plus effroyable venait de lui traverser l'esprit: il n'avait ni eaux ni nourriture mais un couteau bien aiguisé .Entre deux sanglots, il choisit sa main gauche et plaça son petit doigt sous la lame tranchante.
A l’ instant où il allait abattre la lame, il s'évanouit. A son réveil, il dégobilla péniblement. Le jeune homme n'avait plus le choix. Il commença à manger, avec dégoût sert, son propre vomit tout en sanglotant péniblement. Après son repas forcé, il se remit en route. Il découvrit d’autres ossements plus gros que les autres. Tom en prit un pour se faire une canne, car le manque de sommeil et de nourriture l'affaiblissait.
Cela faisait maintenant trois jours qu'il était la. Il avait perdu toute notion du temps. En ce qu'il croyait être l'après-midi, il aperçut de la lumière. Tom était sur le point de pleurer de joie lorsqu’il vit la porte et le levier qui l'actionne. Il se mit à genoux et pria le Seigneur. Il emprunta le passage, cela lui prit dix bonnes minutes à cause de son manque de force. Il par atteindre la salle, un moment des plus intense.
Tom approcha du levier et de toutes ses maigres forces, il s’efforça de faire le descendre. Le levier s'actionna et la porte s'ouvrit. Tom courut aussi vite que ses jambes meurtris le lui permettais, vers la porte et...
...Tomba dans un piège…
Des piques de trente centimètres s'enfoncèrent lentement dans tout son corps, le faisant souffrir comme jamais il n’avait souffert. Dans sont agonie, Tom eu tout juste le temps de voir les légions de serpents se jeter sur son corps. Il mourut dans des souffrances inimaginables. Tout ce qui resta de lui, était ses os: ni sang, ni chaire, juste... la mort.
Olivier St-Georges.
En 1962, un jeune homme décida de partir en expédition à la suite de l'internement de son père dans un hôpital psychiatrique. Il avait été interné à la suite du suicide de sa femme, la mère de Tom. Tom et ses compagnons, commencèrent leur expédition dans des montagnes Indienne jamais explorées jusqu'à ce jour.
Cela faisait plusieurs jours qu’ils étaient partis et ils n'avaient rencontré que de la végétation. Soudain, vers la fin du huitième jour, ils décidèrent de faire une pause pour la nuit dans une grotte non loin de la. Tom fût le premier a entré et dès que le second mit le pied a l'intérieur, un énorme rocher tombât en lui broyant la jambe et le pied. Tom, troublé, recula et trébucha sur quelque chose...C'était des ossements!
Son cœur battait a tout rompre .Il se releva et Hurla. Une fois plus calme, il remit ses idées en place. Tom décida de chercher une sortie. Au bout de deux heures de marche, il commença à avoir faim. Il n'avait aucune nourriture sur lui, tout ce qu'il avait se limitait a un couteau. L'idée la plus effroyable venait de lui traverser l'esprit: il n'avait ni eaux ni nourriture mais un couteau bien aiguisé .Entre deux sanglots, il choisit sa main gauche et plaça son petit doigt sous la lame tranchante.
A l’ instant où il allait abattre la lame, il s'évanouit. A son réveil, il dégobilla péniblement. Le jeune homme n'avait plus le choix. Il commença à manger, avec dégoût sert, son propre vomit tout en sanglotant péniblement. Après son repas forcé, il se remit en route. Il découvrit d’autres ossements plus gros que les autres. Tom en prit un pour se faire une canne, car le manque de sommeil et de nourriture l'affaiblissait.
Cela faisait maintenant trois jours qu'il était la. Il avait perdu toute notion du temps. En ce qu'il croyait être l'après-midi, il aperçut de la lumière. Tom était sur le point de pleurer de joie lorsqu’il vit la porte et le levier qui l'actionne. Il se mit à genoux et pria le Seigneur. Il emprunta le passage, cela lui prit dix bonnes minutes à cause de son manque de force. Il par atteindre la salle, un moment des plus intense.
Tom approcha du levier et de toutes ses maigres forces, il s’efforça de faire le descendre. Le levier s'actionna et la porte s'ouvrit. Tom courut aussi vite que ses jambes meurtris le lui permettais, vers la porte et...
...Tomba dans un piège…
Des piques de trente centimètres s'enfoncèrent lentement dans tout son corps, le faisant souffrir comme jamais il n’avait souffert. Dans sont agonie, Tom eu tout juste le temps de voir les légions de serpents se jeter sur son corps. Il mourut dans des souffrances inimaginables. Tout ce qui resta de lui, était ses os: ni sang, ni chaire, juste... la mort.
Olivier St-Georges.
Re: Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
Vent...
Comme j'aimerais être le Vent...
Pour pouvoir être enfin utile,
Pour pouvoir être le sauveur d'une journée trop chaude,
Pour pouvoir caresser ta peau...
La douceur de ta peau me manque horriblement.
J'aimerais être le Vent...
Pour sentir le doux parfum de t'es cheveux.
Pour pouvoir me faire chauffé par le chaud Soleil.
Pour que personne ne puissent me faire de mal...
Pour que personne ne puissent me voir.
J'aimerais être le Vent pour enfin être pur.
Terre...
Mais, je ne suis que la Terre...
Je suis sale, impure.
Chaque jour, je me fais marcher sur le corps,
Mais je ne me plain pas,
Je ne peux pas me plaindre...
Toute la poussière du monde est sur moi,
Tous les impureté du monde sont sur moi...
Tous les secrets que vous me confier,
Sont mes fardeaux...
Mais jamais je ne les révèlerai.
Feu...
Toi tu es comme le Feu,
Tu me protège de t'es puissante flammes,
Tu m'éclaire lorsque je suis dans le noir.
Par contre,
Si je ne t'alimente pas,
Tu m'abandonne, me trahis et me laisse dans le noir de ma peur...
Malgré tous, je t'alimente,
De mon amour, mon amitié et mon énergie,
Car je sais que pour toi,
Je suis le Feu...
Eau...
Éternel comme l'eau,
Ma passion vivras toujours.
Je ne peux vivre sans elle car c'est elle qui me nourrit.
Lorsque le Feu ne m'éclaire plu,
Tu es la parcelle de lumière qui m'empêche de devenir fou.
Sans toi, je serais perdu...
Mais, Toi, l'Eau, Ma Passion, qui es-tu?
Olivier St-Georges.
Comme j'aimerais être le Vent...
Pour pouvoir être enfin utile,
Pour pouvoir être le sauveur d'une journée trop chaude,
Pour pouvoir caresser ta peau...
La douceur de ta peau me manque horriblement.
J'aimerais être le Vent...
Pour sentir le doux parfum de t'es cheveux.
Pour pouvoir me faire chauffé par le chaud Soleil.
Pour que personne ne puissent me faire de mal...
Pour que personne ne puissent me voir.
J'aimerais être le Vent pour enfin être pur.
Terre...
Mais, je ne suis que la Terre...
Je suis sale, impure.
Chaque jour, je me fais marcher sur le corps,
Mais je ne me plain pas,
Je ne peux pas me plaindre...
Toute la poussière du monde est sur moi,
Tous les impureté du monde sont sur moi...
Tous les secrets que vous me confier,
Sont mes fardeaux...
Mais jamais je ne les révèlerai.
Feu...
Toi tu es comme le Feu,
Tu me protège de t'es puissante flammes,
Tu m'éclaire lorsque je suis dans le noir.
Par contre,
Si je ne t'alimente pas,
Tu m'abandonne, me trahis et me laisse dans le noir de ma peur...
Malgré tous, je t'alimente,
De mon amour, mon amitié et mon énergie,
Car je sais que pour toi,
Je suis le Feu...
Eau...
Éternel comme l'eau,
Ma passion vivras toujours.
Je ne peux vivre sans elle car c'est elle qui me nourrit.
Lorsque le Feu ne m'éclaire plu,
Tu es la parcelle de lumière qui m'empêche de devenir fou.
Sans toi, je serais perdu...
Mais, Toi, l'Eau, Ma Passion, qui es-tu?
Olivier St-Georges.
Re: Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
Cris.
Inaudible, Un cris retentis.
Bien que pousser avec force, il n'atteint même pas les oreilles de l'adolescent qui le fit taire.
L'adolescent sectionna la nuque de sa proie, jeta le corps par-terre et s'enfuit.
Sans même jeter un simple regard a ce père qui avais été sien.
Mais maintenant c'est fini...
- Oui... fini... bien fini avec cet enfer..., dit-il avec haine mêler avec ses larmes.
************************************************************************************************************
3 ans... il n'avais que 3 ans... 3 ans quand sont père l'avais tuer pour la première fois... en enfoncent sont membre durci et allonger par l'excitation dans son cul tout rond...
Dans le journal, ont aurais dut lire "Un enfant mort sodomisé par sont père..."
Mais, l'enfant ne mourut pas.
Il survécu et son cauchemar commença.
Semaine après semaine, il vécus le même enfer.
Année après année, il multipliais les prières pur que Dieu ou n'importe quel divinité, véritable ou fausse vienne le sauver... ou le tuer.
Les années passèrent, il grandit, tout comme sa haine pour sont père.
************************************************************************************************************
Il a maintenant 14 ans.
Il ne peux plu reculer.
- Se salopard! Il vas gouter a la mort!!Dans 6 jours se seras ma fête... et la sienne!, se dit-il en regardant son géniteur se rhabiller.
Il ne pris même pas la peine de remonter son pantalons quand il disparut dans son placard, le seul espace qu'il pouvais occuper sans craindre sont père.
************************************************************************************************************
Le jour de ses 15 ans, il s'enfuit de chez lui, poursuivis par sont père.
Il arriva dans un vielle maison abandonner non-loin de chez lui, ou, il attendit son géniteur indigne.
Lorsqu'il arriva, il vit a peine le poing de son fils lui fendre la lèvre inférieure.
Il s'étala au plancher tandis que son fils lui tirais la tête par en arrière.
Il le frappa jusqu'à ce que toutes sa colère se transforma en haine tremper de peine et de honte.
Son père émis un cris qu'il n'entendit pas.
Il sortis son couteau de chasse, coteau aillant appartenu a son grand-père.
Il posa la lame bien affiler sur la nuque de son géniteur...
- À 3 tu meurt... 1...2 ...3 !!! cria-t-il avec haine.
Il sectionna la nuque de sa proie, jeta le corps par-terre et s'enfuit.
Sans même jeter un simple regard a ce père qui avais été sien.
Mais maintenant c'est fini...
- Oui... fini... bien fini avec cet enfer..., dit-il la haine mêlant à ses larmes.
Olivier St-Georges.
Inaudible, Un cris retentis.
Bien que pousser avec force, il n'atteint même pas les oreilles de l'adolescent qui le fit taire.
L'adolescent sectionna la nuque de sa proie, jeta le corps par-terre et s'enfuit.
Sans même jeter un simple regard a ce père qui avais été sien.
Mais maintenant c'est fini...
- Oui... fini... bien fini avec cet enfer..., dit-il avec haine mêler avec ses larmes.
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3 ans... il n'avais que 3 ans... 3 ans quand sont père l'avais tuer pour la première fois... en enfoncent sont membre durci et allonger par l'excitation dans son cul tout rond...
Dans le journal, ont aurais dut lire "Un enfant mort sodomisé par sont père..."
Mais, l'enfant ne mourut pas.
Il survécu et son cauchemar commença.
Semaine après semaine, il vécus le même enfer.
Année après année, il multipliais les prières pur que Dieu ou n'importe quel divinité, véritable ou fausse vienne le sauver... ou le tuer.
Les années passèrent, il grandit, tout comme sa haine pour sont père.
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Il a maintenant 14 ans.
Il ne peux plu reculer.
- Se salopard! Il vas gouter a la mort!!Dans 6 jours se seras ma fête... et la sienne!, se dit-il en regardant son géniteur se rhabiller.
Il ne pris même pas la peine de remonter son pantalons quand il disparut dans son placard, le seul espace qu'il pouvais occuper sans craindre sont père.
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Le jour de ses 15 ans, il s'enfuit de chez lui, poursuivis par sont père.
Il arriva dans un vielle maison abandonner non-loin de chez lui, ou, il attendit son géniteur indigne.
Lorsqu'il arriva, il vit a peine le poing de son fils lui fendre la lèvre inférieure.
Il s'étala au plancher tandis que son fils lui tirais la tête par en arrière.
Il le frappa jusqu'à ce que toutes sa colère se transforma en haine tremper de peine et de honte.
Son père émis un cris qu'il n'entendit pas.
Il sortis son couteau de chasse, coteau aillant appartenu a son grand-père.
Il posa la lame bien affiler sur la nuque de son géniteur...
- À 3 tu meurt... 1...2 ...3 !!! cria-t-il avec haine.
Il sectionna la nuque de sa proie, jeta le corps par-terre et s'enfuit.
Sans même jeter un simple regard a ce père qui avais été sien.
Mais maintenant c'est fini...
- Oui... fini... bien fini avec cet enfer..., dit-il la haine mêlant à ses larmes.
Olivier St-Georges.
Re: Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
Je t'aime... ( poème cul-cul, non? )
Aucune rime ni vers
Ne peur exprimer
Se que je ressent
En te voyant
Je cherchais une muse.
Quelqu'un qui me donnerait l'inspiration
Sans que je n'en abuse
Malheureusement je n'ai pus trouver cette passion
A cette place
J'ai trouver l'être
Qui a pris place
Dans tout mes songes
Gouvernant mon cœur
Le détruisant d'un seul regard
Je te vois dans la nuit, tard...
Ainsi que dans mon sombre cœur
Tu es la clé
Qui ouvre toute les portes de mon âme
J'ose espérer
Que tu veuille bien de moi.
Olivier St-Georges.
Aucune rime ni vers
Ne peur exprimer
Se que je ressent
En te voyant
Je cherchais une muse.
Quelqu'un qui me donnerait l'inspiration
Sans que je n'en abuse
Malheureusement je n'ai pus trouver cette passion
A cette place
J'ai trouver l'être
Qui a pris place
Dans tout mes songes
Gouvernant mon cœur
Le détruisant d'un seul regard
Je te vois dans la nuit, tard...
Ainsi que dans mon sombre cœur
Tu es la clé
Qui ouvre toute les portes de mon âme
J'ose espérer
Que tu veuille bien de moi.
Olivier St-Georges.
Re: Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
Muse
Je cherche inspiration,
Dans se monde de conspiration
Mais malgré toutes c'est passion,
Je ne peux qu'écouter avec attention.
Noir,noir est notre vie,
Tant noir que certain on peur d'aller au lit
Tant noir que la lune ne vient pas jusqu'ici
Tant noir que le soleil s'assombrit
Malgré toute c'est tentions
Nous avons connus nos passion
Bien qu'elle soit de courte durée
Nous les avons apprécier
Mais que reste-il d'elles?
Ô mon ange,ma muse,
Restons ensemble pour toujours.
Mais, que restera-t-il de toi, ma belle?
Après toutes c'est années ou je n'aurai pas vieillis,
Toi, tu seras déjà partie...
mais notre œuvre persisteras
Oui, il résistera...
Mon amour... pardonne moi... je t'en supplie pardonne moi...
Je ne veux pas d'un monde sans toi...
Non, il ne vaut rien si tu n'y est pas!
Un simple et minuscule pas... vers toi...
... Et dans un murmure, nous serrons réunis a jamais... mon tendre amour...
Olivier St-Georges.
Je cherche inspiration,
Dans se monde de conspiration
Mais malgré toutes c'est passion,
Je ne peux qu'écouter avec attention.
Noir,noir est notre vie,
Tant noir que certain on peur d'aller au lit
Tant noir que la lune ne vient pas jusqu'ici
Tant noir que le soleil s'assombrit
Malgré toute c'est tentions
Nous avons connus nos passion
Bien qu'elle soit de courte durée
Nous les avons apprécier
Mais que reste-il d'elles?
Ô mon ange,ma muse,
Restons ensemble pour toujours.
Mais, que restera-t-il de toi, ma belle?
Après toutes c'est années ou je n'aurai pas vieillis,
Toi, tu seras déjà partie...
mais notre œuvre persisteras
Oui, il résistera...
Mon amour... pardonne moi... je t'en supplie pardonne moi...
Je ne veux pas d'un monde sans toi...
Non, il ne vaut rien si tu n'y est pas!
Un simple et minuscule pas... vers toi...
... Et dans un murmure, nous serrons réunis a jamais... mon tendre amour...
Olivier St-Georges.
Re: Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
Les dessins je les trouve très cool ^^ J'adore ton style =)
Par contre les textes je les lirais un peu plus tard, qaund mes yeux iront un peu mieux ^^'
Par contre les textes je les lirais un peu plus tard, qaund mes yeux iront un peu mieux ^^'
Re: Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
Je savais que mon orthographe est merdique, mais pas a se point!
Re: Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
NOn c'est pas une question d'ortho t'inquiète, je suis pas mieux, mais j'ai les yeux éclaté, enfin faut pas chercher à comprendre ^^;
Re: Bon, je me lance!! ( Teddy Bear!! )
Voici la prologue de mon livre, en grande exclusivité!
Dément-Prologue
La nuit, lorsque notre esprit s’envole vers les ténèbres nocturnes, nous explorons notre mémoire, a la recherche d’une parcelle de soit oublier. Aussi terrible soit se secret, nous ne pouvons vivre sans. Mais, certaines fois, nous nous souvenons de certaines chose dont nous n’aurions jamais dût nous souvenir. Puis, quand ont arrive a se points où nous envahissent complètement, il ne reste que trois solutions : tout oublié et se dire que ce n’étais que le fruit de notre imagination, essayer de comprendre se souvenir, mais sans pour autant l’accepter, et finalement, continué… C’est souvent se qui se passe avec les gens qui tue… dont l’entourage ne comprend pas se qui c’est passé, ils disent tous que jamais il n’aurait put faire du mal a qui que se soit, qu’ils le connaissent depuis toujours et qu’il n’est pas un tueur! Mais en vérité… ses tueurs ne font que reprendre leurs jeux de jeunesses. D’où croyez-vous qu’ils tiennent leurs idées noires?! Certaine personnes, par contre, deviennent fou… ils ne font pas que tueur une ou deux personnes… ils en tuent parfois dix! Vingt! Du jour au lendemain ils s e mettent a tuer, de sang froid. Ils deviennent… Dément.
Bon, c'est plutôt court... mes moi, j'en suis fière!
Dément-Prologue
La nuit, lorsque notre esprit s’envole vers les ténèbres nocturnes, nous explorons notre mémoire, a la recherche d’une parcelle de soit oublier. Aussi terrible soit se secret, nous ne pouvons vivre sans. Mais, certaines fois, nous nous souvenons de certaines chose dont nous n’aurions jamais dût nous souvenir. Puis, quand ont arrive a se points où nous envahissent complètement, il ne reste que trois solutions : tout oublié et se dire que ce n’étais que le fruit de notre imagination, essayer de comprendre se souvenir, mais sans pour autant l’accepter, et finalement, continué… C’est souvent se qui se passe avec les gens qui tue… dont l’entourage ne comprend pas se qui c’est passé, ils disent tous que jamais il n’aurait put faire du mal a qui que se soit, qu’ils le connaissent depuis toujours et qu’il n’est pas un tueur! Mais en vérité… ses tueurs ne font que reprendre leurs jeux de jeunesses. D’où croyez-vous qu’ils tiennent leurs idées noires?! Certaine personnes, par contre, deviennent fou… ils ne font pas que tueur une ou deux personnes… ils en tuent parfois dix! Vingt! Du jour au lendemain ils s e mettent a tuer, de sang froid. Ils deviennent… Dément.
Bon, c'est plutôt court... mes moi, j'en suis fière!
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